J'aimerais savoir quelle est la durée moyenne d'une visite pour le marché francophone?
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Anonymous
said...
Dans le temps, avec Diesel, on avait fait une recherche assez poussée de la «pénétrabilité» Web des pages chez les Québécois. On avait basé ça sur des focus groups autant que des mesures de lisilité ergonomique et un certain «gut feeling». On en était arrivés à notre règle du 3,33,333 qui était une métaphore mais basée sur des mesures. 3 secondes pour un premier impact et un décodage, donc pour séduire, 33 secondes pour partager une vision, donc enthousiasmer les évangélistes et 333 secondes pour expliquer. 52% de l'auditoire ne s'arrêtait qu'au 3 secondes, 38% au 33 secondes et 5% au 333 secondes (évidemment il y a des zones grises comme avec toutes les statistiques). Bon, on était en 2001, on n'avait pas la vitesse de bande passante d'aujourd'hui et la légèreté séduisante du Flash. Récemment, pour un client précis, Liberté, qui a une clientèle de foodies fidèles, j'ai fait la même analyse basée sur des logs. Je l'ai comparée à une vingtaine de sites pour lesquels j'avais l'accès statistique. Les chiffres n'ont pas beaucoup changés. On est passé d'un medium de lecture primaire à un medium de visualisation/design et on revient à un medium de lecture-décodage avec la vidéo. Je pense qu'on peut améliorer la rétention avec l'utilisation vidéo de plus en plus répandue. Il faut juste savoir raconter l'histoire...
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Dans le temps, avec Diesel, on avait fait une recherche assez poussée de la «pénétrabilité» Web des pages chez les Québécois. On avait basé ça sur des focus groups autant que des mesures de lisilité ergonomique et un certain «gut feeling». On en était arrivés à notre règle du 3,33,333 qui était une métaphore mais basée sur des mesures. 3 secondes pour un premier impact et un décodage, donc pour séduire, 33 secondes pour partager une vision, donc enthousiasmer les évangélistes et 333 secondes pour expliquer. 52% de l'auditoire ne s'arrêtait qu'au 3 secondes, 38% au 33 secondes et 5% au 333 secondes (évidemment il y a des zones grises comme avec toutes les statistiques). Bon, on était en 2001, on n'avait pas la vitesse de bande passante d'aujourd'hui et la légèreté séduisante du Flash. Récemment, pour un client précis, Liberté, qui a une clientèle de foodies fidèles, j'ai fait la même analyse basée sur des logs. Je l'ai comparée à une vingtaine de sites pour lesquels j'avais l'accès statistique. Les chiffres n'ont pas beaucoup changés. On est passé d'un medium de lecture primaire à un medium de visualisation/design et on revient à un medium de lecture-décodage avec la vidéo. Je pense qu'on peut améliorer la rétention avec l'utilisation vidéo de plus en plus répandue. Il faut juste savoir raconter l'histoire...
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