Merci de ton topo. C'est vrai que c'est thérapeutique pour moi et peut-être un peu impudique. Mais comme tu le mentionnes, ce ne sont que les connaissances approuvées sur mon profil Facebook qui ont accès à mes pensées/statut, puisque mon profil est verrouillé et qu'il faut que j'autorise au préalable, les gens, pour qu'ils aient accès à mes statuts. Ainsi, il y a une gradation du dévoilement de mon intimité, dans Facebook, Twitter, mon blogue personnel et celui spécifique à ma condition de transsexuelle. D’ailleurs, je n’avais pas vraiment le choix de dévoiler ma condition au grand jour puisque mon brand était ma personne et qu’un changement de sexe ne passe pas inaperçu. En outre, j’ai toujours été promotrice de la communication authentique et transparente sur le Web, je me devais donc d’être conséquente avec moi-même lorsque mon drame est survenu. Je suis plus ouverte dans des lieux Web qui sont un peu plus fermés (comme Facebook et Twitter) parce qu’effectivement, c’est un peu mon groupe de soutiens virtuels, que ça me fait du bien et que ça documente ce que je vis et que ça pourra servir un jour ou l’autre, si jamais je décide d’écrire un livre, de faire un documentaire ou quoi que ce soit. De plus, ça aide aussi les autres personnes (un homme sur 30 000 et une femme sur 50 000) qui sont aussi aux prises avec la réalité de la dysphorie d’identité de genre…
2 comments:
Salut Pierre
Merci de ton topo. C'est vrai que c'est thérapeutique pour moi et peut-être un peu impudique. Mais comme tu le mentionnes, ce ne sont que les connaissances approuvées sur mon profil Facebook qui ont accès à mes pensées/statut, puisque mon profil est verrouillé et qu'il faut que j'autorise au préalable, les gens, pour qu'ils aient accès à mes statuts. Ainsi, il y a une gradation du dévoilement de mon intimité, dans Facebook, Twitter, mon blogue personnel et celui spécifique à ma condition de transsexuelle. D’ailleurs, je n’avais pas vraiment le choix de dévoiler ma condition au grand jour puisque mon brand était ma personne et qu’un changement de sexe ne passe pas inaperçu. En outre, j’ai toujours été promotrice de la communication authentique et transparente sur le Web, je me devais donc d’être conséquente avec moi-même lorsque mon drame est survenu. Je suis plus ouverte dans des lieux Web qui sont un peu plus fermés (comme Facebook et Twitter) parce qu’effectivement, c’est un peu mon groupe de soutiens virtuels, que ça me fait du bien et que ça documente ce que je vis et que ça pourra servir un jour ou l’autre, si jamais je décide d’écrire un livre, de faire un documentaire ou quoi que ce soit. De plus, ça aide aussi les autres personnes (un homme sur 30 000 et une femme sur 50 000) qui sont aussi aux prises avec la réalité de la dysphorie d’identité de genre…
Michel—LE
Michel—LE
Michel—LE Blanc...
C'est pas du tout fatiguant, je me demande si t'en es revenu depuis?
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