Pourquoi j’écris.

J'écris pour mon plaisir. Écrire, comme peindre, me fait du bien. J'écris aussi pour les autres avec une étrange conscience des résultats quantitatifs. Derrière ces expériences de création, non seulement ici, mais aussi sur plusieurs autres plateformes, il y a un rêve de le faire professionnellement, dans une forme d’indépendance intellectuelle.

C’est pour cela que les statistiques sont essentielles à la rationalisation de mon rêve. Cet exercice d’analyse est aussi une forme d’évaluation de la valeur économique de ma contribution dans le cyberespace. Si personne ne s’intéresse à ce que je publie sur internet, c’est donc que ce que j’offre n’a pas de valeur pour les « consommateurs ». Mon « œuvre », si je peux me permettre, ne répond à aucune demande particulière.

Dans l’analyse de mes statistiques, je questionne le potentiel de rentabilité de ma contribution dans la société, de la valeur de la richesse que je créer pour ainsi tenter d’évaluer la cohérence d’un tel rêve professionnel.

Vous savez, je suis aux Iles-de-la-Madeleine présentement, non seulement pour faire du kiteboard, mais aussi pour développer un nouveau plan stratégique de mon offre global professionnel.

Les statistiques de mon blogue ne sont qu’une des nombreuses variables de l’équation économique sur laquelle je réfléchis en ce moment.

La grande distance géographique actuelle avec mon marché primaire me donne le recul nécessaire à une profonde réflexion sur la valeur économique de mes compétences distinctives.

Dans un certain sens, mon objectif pour les prochaines semaines est d’essayer de qualifier ces compétences pour ensuite les commercialiser au plus grand nombre.

Ma quête existentielle, si je peux appeler cela ainsi, est d’essayer d’être heureux, libre et joyeux dans le cadre théorique du 888.

Merci de m’avoir lu et n’hésitez pas à participer à la discussion.