Thursday, September 17, 2009

Dominic Arpin tu m'as fait de la peine :-(

Je connais Dominic depuis longtemps. Depuis le tout début des années 1990 en fait; automne 1991, pour être plus précis. Je travaillais alors à Sorel dans une station de radio comme concepteur-rédacteur. C'était ma première "vrai" job en sortant des HEC. Dominic lui travaillais comme animateur le matin, les week-ends. Il terminait son BACC à l'UQAM je crois. Le souvenir que je garde est fort. Jamais je n'oublierai l'émotion d'avoir entendu sa voix présenter celle de Jim Morrisson un froid matin de novembre au volant de ma vieille Golf grise 1985... C'était beau, magnifique et irréel.

Après, on c'est revu un peu. Comme ici au début 1995.



J'avais crée le site web du film Eldorado avec mon agence eMarketing et Jean-François Petit comme réalisateur. Dominic, comme tous les autres médias de l'époque, couvrait l'événement. Parce qu'on se connaissait, il avait été le premier à pouvoir sortir l'histoire à la télévision.

Puis on c'est perdu de vu...puis on c'est revu à TVA puis plus régulièrement depuis la création de Gramsclo.

Pour moi Dominic était un ami. Pas un gars avec qui je faisais des affaires. Pas un journaliste à qui je racontais de la bullshit pour vendre mon histoire. Non.

Un chum de Saint-Ours qui me connaissait d'avant, d'une de mes nombreuses anciennes vie, depuis longtemps, un des rares qui m'a connu dans ces années.

Depuis quelques jours, je dresse pour lui une grande mise-en-scène pour qu'il vienne à mon secours dans ma quête de reconstruction professionnelle. Une belle expérience de partage et de communication. Un scénario totalement improvisé, tellement stimulant qu'il aurait pu me permettre de retrouver enfin ma dignité de créateur.

En parlant directement au personnage le Patrouilleur du Net dans mes textes je souhaitais engager la conversation avec Dominic. Je pensais qu'il aurait le courage de jouer le jeu avec moi. Mais non. Il a décidé de m'ignorer. Simplement. Froidement. Cliniquement. Corporativement. Comme un homme d'affaires. Comme un politicien. Comme un grand stratège des RP.

Malheureusement, je réalise finalement que pour Dominic, comme pour Astral, Doner et Mazda, je n'existe pas, et je n'ai jamais existé. Et ça fait mal. Et c'est dur de tourner la page.

Jusqu'à maintenant, j'avais toujours protégé Dominic dans le rôle qu'il a joué dans le ARG de Mazda 33 KEYS. Volontairement, par amitié, j'ai exclus toute information relative à Dominic dans la narration de mon histoire.

J'aurais souhaité qu'il m'aide et qu'il me supporte. Juste un lien sacrament. Juste une ligne, un petit paragraphe de sympathies. Un peu de reconnaissance, un petit merci... quelque chose...Est-ce que c'est trop lui demandé ? De quoi avait-il peur ? Que Mazda lui enlève l'argent qu'il a reçu ??? On ne parle pas juste de 5 000 $ ...

Mais bon, comme la crapule-pas-de-colonne-à-Stéphane Raymond, Dominic Arpin a choisi l'argent plutôt que moi.

Dans le fond, faut le comprendre, j'en vaux sûrement pas la peine...

2 comments:

Dominic Arpin said...

Salut Pierre. Ouf, je ne sais pas par où commencer!

Allons-y d’abord avec ta ridicule accusation concernant la Cage aux sports. Si je n’ai pas répondu plus tôt à ton « post » c’est que je trouvais ta tactique malsaine et puérile. Mettre en ligne un mensonge sans même me contacter et espérer que j’arrive en courant sur ton blogue pour me défendre : je ne voulais pas embarquer dans ce jeu. Mais là, avec ton délire d’aujourd’hui, tu m’y forces.

Donc pour répondre à ta question : non, je n’ai pas été payé par La Cage aux sports. C’est tellement grossier! J’ai tout simplement écrit au "Gros" via Facebook et demandé à faire une entrevue avec lui après avoir vu une de ses vidéos sur YouTube. Je ne savais pas à ce moment-là qu’il s’agissait d’un teaser pour une campagne de pub. Jacques Labelle d’Alfred m’a appelé le lendemain, je lui ai posé mes questions et j’ai écrit mon texte. Aussi simple que ça. Contrairement à toi, je n’ai pas sombré dans les théories du complot. J’ai contacté le principal intéressé et je lui ai parlé avant de mettre quoi que ce soit en ligne. On appelle ça du professionnalisme.

Mais c’est vrai, toi tu es un « créateur ». Tu aimes la fiction. J’imagine qu’à tes yeux ça justifie tes attaques non fondées. Et après ça tu me joues du violon en me rappelant nos débuts à la radio! C’mon! C’est vrai qu’on se connaît depuis longtemps, que nos chemins se sont souvent croisés, mais ce que tu viens de faire sur ton blogue est honteux. T’aurais pu m’appeler, m’écrire un courriel, n’importe quoi plutôt que cette grotesque « mise en scène », cette « belle expérience de partage et de communication », ce « scénario totalement improvisé ». Tu as des façons étranges de demander de l’aide toi!

En terminant, un mot sur le contrat de Mazda. Tu sais aussi bien que moi que mon rôle s’est limité à narrer des capsules radio à NRJ. Mon cachet est sans rapport dans ton histoire.

J’espère sincèrement que ma réponse mettra un terme à ta supposée « mise en scène » et que tu vas passer à autre chose, parce que ça devient franchement embarrassant. Pour toi.

Pierre Côté said...

@dominic:

Je t'avais posé 3 questions. Tu n'as pas voulu y répondre. C'est ton droit.

Tu n'es pas un intouchable tu sais, même si tu es devenu une "célébrité" québécoise.