Creux de la vague
En cette période creuse de vacances je me questionne beaucoup. Et j’ose poser la question : est-ce que l’Internet-vidéo peut prendre sa place dans le marché local ? Et si oui, comment le fera-t-il ? A quel coût ? En utilisant quelles ressources ? Et surtout quand ?
Je me sens un peu négatif ce soir, c’est sûrement la chaleur ☺
Vous avez compris que je n’ai pas encore signé mon premier client et que je commence à être un peu nerveux… Je réalise que la théorie est une chose et la pratique une autre. Ce qui me fait le plus réfléchir est cette notion de non-territorialité, de libre-marché, de frontières sans frontières, de marché global sans besoin de local.
Si Ray-Ban investit dans le marché global avec succès, pourquoi le ferait-il pour les marchés locaux et régionaux ?
Tiens, un vieux hit de Nada Surf pour chasser les pensées négatives...
3 comments:
Vraiment excellente cette chanson!
>est-ce que l’Internet-vidéo peut prendre sa place dans le marché local ?
Si on parle du marché pub, la bonne question à poser doit être inversée, à mon avis: est-ce que le coût de la vidéo et sa diffusion sur Internet vont rencontrer les objectifs de retour sur l'investissement?
Le problème de la vidéo dans un marché local reste le coût de production versus la portée.
Actuellement, il faut que le coût de production soit ridiculement bas à cause de la (relative) faible pénétration.
Si le vidéo est produit avec plus de qualité, il doit être "rentabilisé" sur les médias traditionnels qui offrent plus de peb pour le même effort.
Sur le web, à moins d'effet viral, on n'atteint pas tout le public cible (à moins d'être très ciblé) au Québec. Un viral, c'est aléatoire. Un campagne traditionnelle, c'est chère, mais c'est fiable.
Il existe quand même un place pour la vidéo sur un marché local: il faut voir les pub des Serges...
commentaires très juste de ta part.
j'ai malgré tout développé une formule mathématique qui réduit l'incertitude.
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