Monday, June 9, 2008

JJS E07

Malgré un douzième prétendant doux, romantique et attentionnée, Julie tombe sous la fatigue de la fin de la production de la web-série J’aime julie S.
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5 comments:

Anonymous said...

Je trouve pour être honnête qu'il y a beaucoup trop d'épisodes où ça tourne au vinaigre, où les choses se passent mal etc. On assiste pas à des rencontres mais plutôt aux états d'âme du personnage Julie S. Ici, par exemple, on a aucune idée de qui est le jeune homme, de leurs échanges, on ne fait que la voir elle. Je trouve qu'on sent trop le scénario derrière tout ça. Si elle avait quelques belles rencontres, puis une rencontre qui se terminait mal, là ce serait intéressant peut-être, mais ici, ce n'est pas ça, on pert énormément d'intérêt.
M.

Pierre Côté said...

@ M.

Il y a des épisodes qui ne tournent vraiment pas au vinaigre mais que nous n'avons pas l'autorisation de les rendre disponible.

La série vise à construire un personnage, Julie Simard, pas à assister à des rencontres.

Le principe de la réalité-fiction est d'utiliser des éléments réels pour nourrir la fiction. Dans ce cas-ci, le personnage de Julie Simard.

Si vous ne saviez pas que Julie Simard était interprétée par une comédienne, l'auriez-vous découvert ?

Merci de vos commentaires.

Anonymous said...

Ça dépend des épisodes, pour être bien honnête. Je ne les ai pas tous en tête mais certaines capsules sont moins bien jouées, ou alors le texte ou la direction porte encore trop l'empreinte du monde de la fiction.
Il est inscrit "épisode 7", mais c'est la douzième rencontre. Ça prête un peu à confusion.

M.

Pierre Côté said...

M.
Tes commentaires sont très appréciés. J'ai envie de te dire que le genre que je tente de développer (fiction-réalité) n'est pas facile à maîtriser, surtout pour l'aspect fiction. L'objectif est de réussir à laisser croire à des vraies personnes dans un histoire qui n'existe que dans la tête de l'auteur.

Anonymous said...

J'imagine qu'idéalement, pour une première tentative (enfin, cette tentaive là, je ne sais pas si c'est la première), il aurait été plus simple que le concepteur/créateur/auteur soit en même temps le comédien. Vous auriez pu sauver déjà la barrière du texte ou du scénario trop "scénarisé", je ne sais pas comment vous fonctionniez, mais c'est plus simple quand le scénario a une ou deux directions de prévues mais que les décisions se prennent sur le vif, au moment de l'action, selon la direction prise par les "non comédiens". Je pense à la façon dont fonctionne par exemple les jeux de rôle sur table.
Le matériel aurait peut-être été plus intéressant, plus facile à travailler au moment du montage si les "participants" n'avaient pas eu l'impression (enfin, c'est ce qu'on voit à l'écran) dans certains cas que les réactions de "Julie" étaient surréalistes ou jouées. Je pense par exemple au gars du restaurant fermé, qui ne comprenait pas ce qui se passait.
Je ne sais pas si c'est compréhensible, ce que je viens d'écrire...
M.