Faire face à la musique dans un contexte de liberté d'expression et de transparence.
En réaction à mes écrits sur la fan page Facebook de Fais-moi Jouer, Geneviève Cardin écrivait ce ceci:
"Merci pour le qualificatif employé sur mon article. C'est vraiment sympa. Tu méprise une communauté dans laquelle le conflit n'existe pas. Je te le répète, si le générique qui paraît dans cet «article de merde» ne fait pas ton affaire, actionne Mazda, Astral et cie. ARGnet, Unfiction, Fais-moi jouer, et tous les autres créateurs n'ont rien à voir avec ton malheur. Si tu veux un article journalistique qui traite exclusivement sur ce que tu dénonces, je vais t'en écrire un, et tu devras répondre aux questions que moi je vais te poser. Mais tu devras accepter que je vais également publier les réponses aux questions que j'aurai posées à tous les autres intervenants dans ce projet. Est-ce que tu as vraiment envie que les vraies raisons pour lesquelles tu as été mis à l'écart (et que je ne connais pas soi dit en passant) sortent? De manière indépendante du conflit, on peut demander à Fais-moi jouer de faire cet article."
Voici ma réponse:
"Je ne méprise pas la communauté. Je suis blessé et en colère. J'aurais espérer son support pour m'aider à faire la lumière sur cette affaire. C'est tout. Pour ton article, il me fera plaisir de répondre à toutes tes questions. Je n'ai absolument rien à cacher dans tout ce qui c'est passé, du début à la fin."
Ce qui m'intéresse surtout dans cette histoire, c'est expliquer pourquoi j'ai été écarté du projet dès que DONER US est entré dans le portrait et pourquoi Astral ne m'a jamais supporté ni même rémunéré pour mon travail de création.
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