Friday, November 20, 2009

Le président de la FPJQ décline l'invitation de Realtime Réalité.


Bryan Myles, le nouveau président de La Fédération professionnelle des journalistes du Québec aurait pu accepter mon invitation: venir dialoguer en temps réel avec les internautes du monde entier.

Il a choisi de ne pas le faire.

Dans un message laissé sur ma boîte vocale il dit froidement: "...Je vais décliner ton offre..."

Sa décision me laisse perplexe.

Pourtant dans cette entrevue accordée à Mathieu Turbide du Journal de Montréal sa vision semble démontrer une certaine ouverture d'esprit.

J'avoue que je ne comprends pas Myles.

Enfin oui. Finalement. Maybe.

Quand il dit a son confrère-cadre Turbide que la montée des blogues et de ces gens qui se disent « journalistes-citoyens » ne lui fait pas peur, peut-être n'est-il pas tout à fait honnête.

Peu importe sa position officielle, rien maintenant ne peux empêcher le peuple de s'exprimer publiquement.

Tôt ou tard, il devra faire face à la réalité...



Come gather 'round people
Wherever you roam
And admit that the waters
Around you have grown
And accept it that soon
You'll be drenched to the bone.
If your time to you
Is worth savin'
Then you better start swimmin'
Or you'll sink like a stone
For the times they are a-changin'.

Come writers and critics
Who prophesize with your pen
And keep your eyes wide
The chance won't come again
And don't speak too soon
For the wheel's still in spin
And there's no tellin' who
That it's namin'.
For the loser now
Will be later to win
For the times they are a-changin'.

Come senators, congressmen
Please heed the call
Don't stand in the doorway
Don't block up the hall
For he that gets hurt
Will be he who has stalled
There's a battle outside
And it is ragin'.
It'll soon shake your windows
And rattle your walls
For the times they are a-changin'.

Come mothers and fathers
Throughout the land
And don't criticize
What you can't understand
Your sons and your daughters
Are beyond your command
Your old road is
Rapidly agin'.
Please get out of the new one
If you can't lend your hand
For the times they are a-changin'.

The line it is drawn
The curse it is cast
The slow one now
Will later be fast
As the present now
Will later be past
The order is
Rapidly fadin'.
And the first one now
Will later be last
For the times they are a-changin'.

1 comment:

Anonymous said...

Je n'aime pas Richard Martineau, le journaliste. C'est mon droit. S'il me demande en entrevue, je vais refuser car je n'aime pas sa façon de traiter la nouvelle. Je n'ai même pas à lui expliquer pourquoi.

Si c'est un journaliste citoyen qui me demande en entrevue, je vais regarder quel genre de travail fait cette personne. Comment traite t'il ses invités? Est-il honnête dans sa démarche? Va t'il bien transmettre mon message? Qu'en est il de son sens de l'étique?

En bref, les même règles s'appliquent. Refuser de répondre à un journaliste, ce n'est pas un crime et ce n'est pas déshonorant.